Informations pertinentes de l'histoire

J'ai longtemps été recluse de la société. Mon père étant parrain d'une mafia Japonaise, Gekkô (Signifiant Clair de Lune). Je vécu donc très longtemps caché par mon père et j'appris donc rapidement à me débrouiller seul, puisque ce dernier ainsi que ma génitrice était très rarement présent pour moi. En vieillissant, loin de mes parents, les hommes de mains de la famille m'avait enseigné tout ce dont mon père voulais que j’acquière. Je devint rapidement beaucoup plus endurcis que la majorité de ces sbires. À force de passer 24/7 de son temps à s’entraîner et à étudier les réseaux intérieurs, on fini rapidement en haut de l'échelle. D'ailleurs, depuis, je me vit offrir un petit frère et une petite sœur (jumeaux), étant maintenant âgé de 15 ans étant aussi passé par le même rituelle familiale que moi.

Ce fut lorsque j’obtins ma 9ème année que mon paternelle me permit finalement de quitté la muraille familiale pour voir le monde extérieur. Bref, le "droit" de liberté que mon père m'offrit était en fait présenté sous forme de contrat avec la famille s'occupant de la compagnie funéraire "Vie d'Antan". Je devait fraternisé avec leur fils du même âge afin qu'un jour je puisse parlementé avec ce dernier afin qu'on puisse obtenir quelques... faveurs en échange de certaines sommes faramineuses.

Plus le temps passais plus que mon père m'utilisais dans la famille de ce chère Arthur... Plus que je sentais qu'il ne m'aimais pas (au contraire de son père). Pourtant je ne me suis jamais senti proche de qui que ce soit et par où la vie m'avais mené, je fini par faire abstraction à toutes émotions. De plus, à force que moi et Arthur traînions ensemble, on peux dire qu'on était souvent le centre des problèmes, puisque beaucoup de personnes semblait en vouloir à nos famille... et comme par magie on était souvent les cibles numéro 1 pour les prises d'otages... Mais il faut croire que mes entrainement au combat ne m'étais pas inutile et que moi et Arthur étions sans doute les plus redoutable et indifférents à la vie de nos adversaire.

Plus tard, nos parents à moi, Arthur et ceux de tous les autres membre de notre petit "gang", ont conclus de tous nous envoyer au pensionnat Hanagata. "Malheureusement" pour tous (excepté moi et Arthur), n'avait pas l'argent pour y envoyer leur progéniture.

Une fois sur place, moi et Arthur nous sommes vu attribué une Gata commune, faute de Gata en stock. Je n'avais guère besoin d'une tel chose, mais comme c'Était obligatoire, je fit avec. De toute façon je sais très bien qu'Arthur s'amuserais bien avec elle. Aya qu'elle s'appel..